La communication non violente
Avoir des relation sociale harmonieuse avec la communication non-violente.
Qu’est-ce que la communication non violente?
La communication non violente par Marshall Rosenberg
La communication non violente (C.N.V), développée par le psychologue Marshall Rosenberg, est une approche qui vise à favoriser la bienveillance et l’empathie dans toutes les interactions sociales. Elle propose des outils concrets pour améliorer la qualité des relations.
La communication non violente repose sur quatre piliers fondamentaux qui jouent chacun un rôle crucial pour une communication efficace et respectueuse.
En appliquant ces quatres étapes, la communication non violente permet de rester connecté à ce qui est vivant en soi – C’est-à-dire à ses émotions et besoin profonds – tout en se connectant à ce qui est vivant chez l’autre.
Que ce soit pour résoudre un conflit, exprimer une idée, faire une demande ou simplement dans chacune des relation, la communication non violente offre un cadre clair et respectueux pour mieux comprendre les besoins de chacun et y répondre de manière constructive.
En apprenant la communication non violente dès le plus jeune âge, votre enfant pourra créer des relations et amitiés de qualité et sincères basée sur le respect mutuel et l’écoute active.
Iel aura cette compétence qu’iel pourra utiliser tout au long de sa vie dans le cadre scolaire, amical, professionnel.
Les 4 étapes de la communication non violente.
L’observation en communication non violente.
La communication non violente nous invite À adopter une observation factuelle. C’est une pratique essentielle pour des échanges authéntiques et respectueux. Cette observation des fait est au cœur de la communication non violente, car elle constitue la base d’une communication claire et sans jugement.
Qu’est-ce qu’une observation factuelle?
Il s’agit d’une observation objective, dépourvue de jugement, d’interprétation, de diagnostique, d’évaluation ou d’avis personnel. Contrairement à une observation subjective qui est influencée par les opinions et les expériences de l’observateur. L’observation factuelle se concentre uniquement sur ce qui est directement observable et mesurable. Elle se limite aux faits concrets, tels qu’ils se présentent, sans être altérés par des préjugés et de perceptions individuelles.
Cette approche est cruciale pour la communication non violente car elle permet de poser une base commune de compréhension entre les enfants qui communiquent. En se concentrant sur les faits, sans les déformer par des opinions personnelles, l’enfant ouvre une porte à une communication plus authentique et moins conflictuelle. L’observation factuelle permet à chacun de reconnaître ce qui se passe réellement, indépendamment des valeurs, des expériences ou des critères de la personne qui observe.
Cette neutralité dans l’observation facilite les étapes suivante de la communication non violente, notamment l’expression des sentiments, l’identification des besoin et la formulation des demandes. En effet, lorsque les faits sont clairement établis, il devient plus facile pour chacun de reconnaître ses propres émotions et besoins sans se sentir attaqué.e ou jugé.e. Cela crée un environnement de communication ou l’écoute active et l’empathie peuvent prospérer, favorisant ainsi des échanges plus constructifs et respectueux.
Les sentiments en communication non violente.
Une fois que l’observation factuelle est établie dans la communication non violente, l’étape suivante est la reconnaissance et l’expression des sentiments. Cette phase est cruciale pour une communication claire et respectueuse.
Reconnaître et exprimer ses émotions est une étape essentielle pour comprendre ses propres besoin et éviter de projeter ses frustrations sur les autres.
Les sentiments jouent un rôle clé dans la communication non violente. Lorsqu’on exprime honnêtement ce que l’on ressent, on facilité une meilleure compréhension de soi-même et de ses besoin. Cette clarté émotionnelle permet de déceler ce qui se cache derrière les émotions ressenties. En identifiant précisément ses émotions, l’enfant peut faire le lien avec ses besoins.
Les besoins sont au cœur de chaque émotion. Les sentiments sont souvent une réaction à des besoins universelles qui ne sont pas satisfaits.
La reconnaissance et l’expression des sentiment aident les enfants à éviter les malentendus et les conflits.
Les besoins en communication non violente.
Après avoir observé les faits de manière objective et exprimé ses sentiments, il est crucial pour l’enfant de passer à l’étape suivante: comprendre et identifier les besoins.
Ce troisième pilier est essentiel pour une communication empathique et constructive. En effet, nos émotions sont souvent étroitement liées à des besoins universel non répondu. Reconnaître ces besoins permet à l’enfant non seulement de clarifier qui est est véritablement important pour eu dans leurs interaction mais aussi de trouver des solutions adaptées et satisfaisantes.
Les besoins humains sont fondamentaux et universels, ce qui signifie que chacun des enfants les partage. Indépendamment des différences culturelles, sociales ou individuelles. Lorsque les enfants ressentent des émotions, c’est généralement parce qu’un de ces besoin est satisfait ou non. En identifiant clairement ces besoins, l’enfant peut mieux comprendre la source de ses émotions et exprimer ces attentes de manière plus précise et constructive.
Clarifier ses besoins permet également à l’enfant d’éviter des conflits inutiles. En comprenant ce qui est vraiment important pour lui, iel peut formuler des demandes spécifiques réalistes qui répondent à ses besoins.
Cela facilite des échanges plus ouverts et honnêtes ou chacun peut exprimer ses attentes sans jugement.
La reconnaissance des besoin joue un rôle crucial dans le renforcement des relations. En adoptant une approche basée sur la compréhension des besoin, l’enfant vivra des communication plus respectueuse et empathique. Iel permettra aux autres de mieux comprendre ses priorité et de mener des interaction plus harmonieuse et satisfaisantes.
La demande en communication non violente.
Le quatrième pilier de la communication non violente est la formulation de la demande. Après avoir observé la situation de manière objective, exprimé ses sentiments et identifié ses besoins, il est essentiel pour l’enfant de formuler une demande claire et concède à l’autre personne. Ce dernier pilier est crucial pour garantir un communication constructive et efficace qui respecte les besoin de chacun.
La demande doit être formulée de manière positive et réalisable. Il est important que la demande soit précise, afin que les autre personnes sachent exactement ce que l’enfant attend d’elle.
Une demande respectueuse tient également compte des besoins de l’autre. En prenant considération de ce que l’autre ressent et ce dont il a besoin, l’enfant évite de créer un sentiment d’obligation ou de pression. La demande devient ainsi une invitation à collaborer plutôt qu’une exigence. Cela favorise une atmosphère de coopération et d’empathie ou chacun se sent entendu et respecté.
Il est aussi important pour l’enfant de formuler Une demande en utilisant un langage non accusateur. En évitant les formulations qui peuvent sembler critique ou exigeantes, vous réduisez les risques de malentendus et de conflits. Une demande formulée en respectant le processus de communication non violente est encourage le dialogue ouvert et constructif, permettant à chacun de répondre de manière positive et proactive.
Dans le cadre de la communication non violente, la demande doit être souple, et être une proposition qui laisse place à la discussion et à l’ajustement. Cela signifie être ouvert à la réponse de l’autre, même si elle est différente de ce qui est imaginé à la base.
En restant flexible et en prêtant attention aux besoins de chacun, l’enfant parvient à des solutions qui satisfont tous les enfants qui communiquent.